En 2016, le champagne connaitra le taux de rendement le plus bas que certains ont atteint depuis les années 80 et cela est dû aux intempéries, pourriture et moisissure.
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Le fait était connu depuis les années 80. Mais c’est lors d’une émission de la chaîne américaine CBS, en 1991, que le chercheur français Serge Renaud lance l’idée, aujourd’hui mondialement connue, du « French Paradox » : pourquoi les Français, grands amateurs de vins, ont-ils un taux de mortalité par maladies cardio-vasculaires inférieur à celui de leurs voisins ? Depuis, les recherches se sont multipliées pour expliquer les effets protecteurs du vin. De quoi apprécier encore mieux son petit verre quotidien
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L’alcool et le diabète n’ont pas la réputation de faire bon ménage. Cela dit, plusieurs études apportent un nouvel éclairage sur les conséquences de l’absorption de vin chez les personnes souffrant du diabète de type 2. Il en ressort que les vins, notamment les vins rouges, auraient des effets protecteurs pour ces personnes fragilisées ! Une bonne nouvelle, car les moments de partage autour d’une bonne table sont des facteurs de plaisir et d’équilibre…
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Enfin ! Oubliés les nuages, le gris, le froid : c’est l’été ! Vous avez une irrésistible envie de réunir tout le monde dans le jardin… Et de passer de longues soirées à rire et discuter dans l’air tiède, autour du barbecue, entre le fumet des brochettes et le parfum du chèvrefeuille et des pétunias en fleurs ? Pour l’ambiance comme pour le menu, on se simplifie la vie au maximum. Mais… et le choix du vin ? Là non plus, rien de compliqué ! Il suffit de suivre cette règle simple : plus la viande est délicate et blanche, plus le vin sera léger et discret, plus la viande est rouge et épicée, plus le vin doit avoir du caractère. On y va ?
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